vendredi 25 novembre 2016

Questions et réponses sur la restauration scolaire

Retrouvez sur le blog des équipes FCPE de Vanves les questions/réponses relatives à la restauration posées à la Mme la responsable de la restauration à la Mairie.

http://unionfcpevanves.blogspot.fr/2016/11/questions-et-reponses-sur-la.html

vendredi 11 novembre 2016

Non au harcèlement : la méthode Pikas, une alternative à la sanction

Une personne de l'équipe FCPE Vanves a participé au Séminaire « Non au harcèlement » du samedi 5 novembre à Issy Les Moulineaux organisé par l'éducation nationale 92.
Il s'agissait d'un séminaire à destination des associations des parents d'élèves en complément d'actions déjà lancées sur le département vers les enseignants notamment. Etaient présents, des parents élus de tout le département. 
Il y a eu une intervention du D. Chambry, pédopsychiatre reconnu sur le sujet. 
La conférence la plus intéressante était celle de JP Bellon qui présentait "la méthode Pikas, une alternative à la sanction". Cette méthode est née dans les années 1970 en Suède, elle s'appelle aussi "Shared Concern Method", "Méthode de l'intérêt commun" ou "Méthode de la préoccupation partagée". 
En quelques mots : 
1. le mot harcèlement est assez mal choisi pour désigner l'ensemble du sujet car son sens de gravité ne pousse pas à agir dès les premiers signes et n'inclut pas de façon évidente les intimidations ou brimades. La méthode de Pikas vise à agir aux stades précoces de l'isolement / intimidation d'un enfant par d'autres.  
 2. le constat est que les enfants harcelés au collège et au lycée ont généralement déjà été harcelés / intimidés de façon répétée en élémentaire. 
3. la méthode vise à stopper les brimades, elle n'adresse pas l'ensemble de la question, en revanche elle est d'après le conférencier très efficace (80%), en particulier en élémentaire. 4. elle peut s'appliquer de façon très large (il ne faut pas hésiter) car justement elle n'est pas punitive ni stigmatisante pour les enfants concernés : on en les accuse de rien, on cherche juste à leur offrir une porte de sortie à leur comportement en créant une empathie avec la victime. 
5. tout cela est très important car d'une part il y a un danger de mort quand le harcèlement est poussé, et que même avant ça "juste" quelques semaines de brimades répétées ont un effet psychologique majeur sur l'estime de soi et la construction de la personnalité. Statistiquement il y a sans doute plusieurs cas de harcèlement par école et par an vu que 5 à 10% des élèves sont concernés sur leur scolarité. 




Nous restons à votre disposition si question. 

samedi 5 novembre 2016

Prochaine commission restauration le 17 novembre 2016


La prochaine commission de restauration a lieu le 17 novembre 2016. 

La commission de Restauration est composée de : la diététicienne, de Monsieur le Maire ou de son représentant, de responsables de satellites, d’animateurs du temps du repas, de directeur d’école, de représentants de la société Elior (détentrice du contrat) de vos représentants de parents d’élèves. 4 fois par an, la commission permet de faire un bilan de la prestation d’Elior sur la période passée et de passer en revue les menus de la période suivante.

Chers parents,
Envoyez-nous
vos questions,
vos remarques,
par email à

mercredi 2 novembre 2016

Journée nationale "Non au harcèlement" le 3 novembre



Cette 2e journée nationale "Non au harcèlement" est consacrée au thème du cyberharcèlement.



Extrait du site "non au harcèlement" 
Le harcèlement se définit comme une violence répétée qui peut être verbale, physique ou psychologique. Cette violence se retrouve aussi au sein de l’école. Elle est le fait d’un ou de plusieurs élèves à l’encontre d’une victime qui ne peut se défendre. Lorsqu’un enfant est insulté, menacé, battu, bousculé ou reçoit des messages injurieux à répétition, on parle donc de harcèlement. Si votre enfant subit de façon répétée des violences verbales et/ou morales (surnoms méchants, insultes, moqueries, brimades, rejets du groupe…), des violences physiques (bousculades, coups), des vols, il est victime de harcèlement. 
Lorsque ces mêmes faits se déroulent sur les réseaux sociaux, par SMS ou par courriel, on parle de cyberharcèlement. 
Les conséquences peuvent être graves (baisse des résultats scolaires, perte de l’estime de soi, décrochage scolaire, profond mal être). 
Aucun enfant, aucun adolescent ne doit subir cela, 
personne ne doit rester silencieux ! 
Que pouvez-vous faire ? 
Il faut en parler pour trouver de l’aide et des solutions ! 
Prenez rendez-vous avec la direction de l’école, du collège ou du lycée. 
Exposez en détail ce que subit votre enfant. Demandez quelles sont les actions menées, les mesures prises pour protéger votre enfant et les réponses proposées pour prendre en charge le problème. Si la situation est avérée, l’établissement scolaire mettra en œuvre, avec vous, les solutions adaptées pour que votre enfant ne subisse plus cette violence. Informez-vous régulièrement sur le suivi de la situation de votre enfant ainsi que sur les actions menées au sein de l’établissement pour lutter contre le harcèlement. 
Contactez un délégué de parents d’élèves pour réfléchir au partenariat possible entre les parents d’élèves et l’établissement pour prévenir le harcèlement et améliorer les relations entre élèves. 
Si vous hésitez à joindre l’établissement ou que la résolution du problème vous semble lente, vous pouvez contacter le référent harcèlement académique en utilisant le numéro vert 3020. 
Votre enfant peut craindre de parler : rassurez-le, demandez-lui ce qu’il souhaite, expliquez-lui que les adultes sont là pour l’aider et faire cesser la violence qu’il subit. Agissez pour que cette violence ne touche plus votre enfant ou d’autres enfants. Identifiez le plus précisément possible la nature des problèmes vécus par votre enfant. Dialoguez ouvertement pour connaître : faits et éventuels auteurs et témoins. Le harcèlement est souvent constitué de petits incidents qu’il est utile de mettre par écrit afin de mieux cerner la situation. Notez la date, l’heure, les personnes présentes, la description des faits, leur répétition, les réactions de votre enfant face à cette situation. Gardez aussi les preuves éventuelles du harcèlement subi, notamment sur les médias sociaux (capture d’écran…). Si besoin, faites-vous aider par un délégué des parents. 
Ce qu’il est déconseillé de faire :
Ne tentez pas de gérer vous-même le problème, ni de contacter l’auteur des faits : cela pourrait aggraver la situation. 

 
N’hésitez pas à nous contacter en cas de besoin de soutien ou questions.